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Ce quatrième album, plus nostalgique que le précédent, s'ouvre sur des abîmes de désillusion, ses chansons qui sourient avec une larme à l'oeil et ses textes burinés par l'éternelle envie de piquer juste et au coeur.

Des polyphonies corses on connaît surtout leur versant masculin. Mais c'est oublier qu'elles sont tout autant chantées par des femmes. L'Ensemble Madamicella ("Mademoiselle" en corse), composé de quatre voix de femmes, vient merveilleusement réparer ce manque en nous offrant une sélection des plus belles polyphonies sacrées corses pour femmes. Cet album plein de ferveur et d'enthousiasme est une découverte qui nous transporte.

Chez Jeannot Jeannette, la linotte vole haut, la litote glisse là et l'on chante tout haut, tout bas. Avec jugeote, sans marottes, et une seule envie en voix de tête : écrire, composer et chanter. Pour les petites oreilles, les moins petites et les tout-à-fait grandes. Dans ce trio à géométrie variable, les voix s'amusent des mots, s'unissent, s'harmonisent, se répondent et les instruments changent de mains. Les textes questionnent avec simplicité les grand-riens et les petit-touts qui nous entourent et nous construisent, pour devenir un terrain de jeu où l'imaginaire et la poésie ont toute leur place.

Au croisement de Radiohead, Pink Floyd et Massive Attack, découvrez ici le sixième album du groupe anglais.

Cinq ans après la sortie de Demon days, Murdoc Niccals et compagnie reviennent. Le groupe s'est installé sur une île flottante secrète du Pacifique Sud pour enregistrer dans une sorte de QG, Plastic beach, construit à partir des détritus, des débris et des vestiges de l'humanité. Cette plage de plastique est le point du globe le plus éloigné de toute côte, sûrement l'endroit le plus désert de la Terre.